Revenir dans son ancienne entreprise n’est pas forcément une évidence. Certain·es salarié·e osent aujourd’hui reprendre contact avec leur ex-employeur. Salarié boomerang, Jean-Noël, notre directeur adjoint des opérations témoigne.

Jean-Noël Letord est revenu chez Empower en début d’année, trois ans après son départ. Alors architecte technique, il occupe désormais le poste de directeur adjoint des opérations de l’agence de Lyon. Pour faire bref, il nous a manqué ! Retour sur son parcours.

🎙️ Jean-Noël Letord, directeur des opérations adjoint sur l’agence de Blue Soft Empower à Lyon, en charge de l’équipe Azure Sécurité et Identité.

Pourquoi as-tu quitté Empower ?

Je suis parti parce que j’avais notamment envie de faire du management. Après avoir discuté avec Empower, les managers et la direction, on s’est rendu compte qu’il n’y avait pas forcément la place pour ne faire que du management et que mes compétences techniques allaient potentiellement être un frein. Effectivement, quand on est staffé, c’est compliqué de tout lâcher, et de ne faire que du management. Je suis donc parti chez le client final pour assouvir cette envie de progresser là-dessus.

Comment es-tu revenu et pourquoi ?

Au bout d’un peu plus de trois ans, j’avais atteint l’objectif que je m’étais fixé. En discutant avec Cédric [Saint-Lager, directeur des opérations à Lyon], je me suis rendu compte que la maturité d’Empower avait grandi et qu’il y avait à nouveau un point de convergence entre les attentes d’Empower et les miennes.

Étant donné qu’à mon départ je m’entendais très bien avec vraiment tout le monde de la société – une très bonne cohésion d’équipe, très familiale, très proche, avec une bonne proximité – c’est avec plaisir que je que je suis revenu.

Concrètement, je ne l’ai pas mal vécu, je ne l’ai pas senti comme une régression. Beaucoup m’ont posé la question : « ça fait quoi de revenir en arrière ? » ou « Tu te rends compte ? Tu reviens là d’où tu es parti ? »

En réalité, je reviens, oui, mais pas sur le même poste. Ce n’est pas non plus la même société parce qu’elle a mûri, et elle n’a pas la même ampleur qu’avant. Je redécouvre donc une société, mais avec les fondamentaux qui m’ont plu à l’époque.

Comment a évolué Empower ces dernières années ?

C’est aujourd’hui une société beaucoup plus mature et structurée, avec des process, qui permettent de véritablement sentir cette progression.

Si on avait un ado ou un jeune quand je suis parti, aujourd’hui on a quelqu’un qui est dans sa vingtaine, un peu plus affirmé, qui sait ce qu’il veut, qui sait où il veut aller, qui hésite beaucoup moins, qui peut commettre des erreurs et qui continue à apprendre. Cela veut dire qu’il y a encore pas mal de choses à construire et j’espère pouvoir participer dans cette continuité !

Dans quoi réside la force de Blue Soft Empower ?

Chez Blue Soft Empower, quel que soit le secteur d’activité, quelle que soit l’équipe, il n’y a pas d’ambiguïté. Tout le monde avance dans la même direction : la satisfaction du client.

L’ambiance et la cohésion d’équipe y sont aussi pour beaucoup. On mange régulièrement ensemble, on est tous régulièrement ensemble. Finalement, on ne se sent jamais seul. Quand on a un problème, les autres sont toujours prêt·es à trouver du temps, que ce soit au café ou entre deux portes de couloir. Parfois, les gens passent devant le bureau, dans l’open space et à partir d’un “comment ça va”, on commence à expliquer son problème, les autres s’arrêtent, prennent le temps d’écouter. Même s’ils n’ont pas de solution, ça compte énormément : c’est le soulagement de se dire qu’on est dans le même bateau, ça fait du bien. C’est vraiment cool d’avoir cette ambiance de travail positive. C’est vraiment le terme, positive.

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