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Le Groupement Hospitalier de Territoire (GHT) Valrhône Santé réunit 6 établissements sanitaires publics, dont le Centre hospitalier Lucien Hussel de Vienne, son établissement support. Afin de converger vers un système de communication unifié à l’échelle du GHT, le groupement a fait appel à Empower.
Objectif : faciliter les échanges et la collaboration et répondre aux enjeux de communication entre les établissements. Mickaël Blein, responsable système d’information, revient sur le déploiement des solutions Microsoft Teams, Yammer et Exchange.
MB. Lorsque nous avons déployé Microsoft Teams, c’était le début du COVID, donc ça a été très bien accueilli. En effet, la mobilité était réduite, et pour pouvoir continuer à avancer sur les différents projets, c’est l’outil qui correspondait parfaitement à notre besoin. Autant en matière de fédération de documents, que pour la visioconférence, donc nous avons équipé plusieurs salles dans plusieurs établissements pour pouvoir répondre à la solution Teams et à nos besoins.
MB. Polycom est un des principaux acteurs du marché d’un point de vue visioconférence. On avait déjà du matériel Poly mais non IP. Le directeur général, face à la crise sanitaire, voulait équiper une salle et celle de l’équipe de direction. On s’est donc orienté vers du Poly connecté en Teams : on invite la salle dans la réunion, et le directeur général n’a plus qu’à cliquer sur l’écran LCD de la Poly, se connecter et participer à la réunion. Ils sont très contents, ils s’en servent hebdomadairement. Il y a deux points hebdomadaires pour le Covid, encore actuellement en début de quatrième vague.
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MB. C’est notre nouveau directeur général qui a souhaité avoir de la mobilité, et il a eu tout à fait raison, par rapport à l’usage de la messagerie. Quand il est arrivé, nous détenions « Zimbra » qui contenait un protocole très complexe et sécurisé pour pouvoir accéder à sa messagerie de l’extérieur. Notre directeur était pro-Outlook, donc nous sommes repartis sur cette étude-là, et il a décidé de commencer par les VIP et les assistant·e·s ; s’il n’y avait pas de déboires pour faire le pilote sur ce périmètre, alors il n’y aurait pas de déboires pour l’ensemble de l’établissement. J’ai posé cette condition pour, tout simplement, vendre la deuxième version de la messagerie, et les cadres supérieurs et l’équipe de direction m’ont dit qu’ils ne pourraient pas s’en passer, par rapport au précédent système de messagerie qui était en place. Ce qui répond entièrement à la question.
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MB. Avec Empower, nous avons déjà travaillé sur deux, trois projets, et nous en avons encore un gros qui arrive. Ce qu’on aime bien avec Empower, c’est que c’est carré d’un point de vue gestion et chefferie de projet, aussi avec une certaine rigueur. Nous avons quand même notre autonomie, notre mot à dire. L’écoute, qui est importante, car c’est nous qui restons maîtres de notre projet dans nos établissements. Tout cela fait que cette collaboration se passe très bien. On apprécie travailler avec Empower et on continuera longtemps sur d’autres projets.
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